Les Armées et leur
''ORDO AB CHAOS''
Ordre en créant le chaos
Il était une fois
des monarchioes qui se son allées
contre l'HUmanité pacifiste
Victor JARA - assassiné par le dictateur du pape Jean-Paul 2 PINOCHET - CHILI
Maudits chriss de militaires..... tant qu'il y aura des malheureux et des bozos prêts à toutes les cruautés pour un job, un uniforme et un peu d'argent
Le jour du coup d'État de Pinochet, Victor Jara est en route vers l'université technique de l'État où il officie depuis 1971, pour l'inauguration chantée d'une exposition avant de rejoindre Allende au palais présidentiel. Il est enlevé par les militaires et transféré au Stade national en compagnie d'autres militants pro-Allende. On le torture et on lui brise les mains ; il meurt ensuite criblé de balles le 16 septembre 1973, quelques jours avant son 41e anniversaire.
Ses chansons critiquaient la bourgeoisie chilienne (Las Casitas del Barrio Alto, Ni Chicha Ni Limona), contestaient la guerre du Viêt Nam (El Derecho de Vivir en Paz), rendent hommage aux grandes figures révolutionnaires latino-américaines (Corrido De Pancho Villa, Camilo Torres, Zamba del Che), mais aussi au peuple et à l'amour (Vientos del pueblo, Te recuerdo Amanda).
Arrêté par les militaires lors du coup d'État du 11 septembre 1973, il est emprisonné et torturé à l'Estadio Chile (qui se nomme aujourd'hui Estadio Víctor Jara) puis à l'Estadio Nacional avec de nombreuses autres victimes de la répression qui s'abat alors sur Santiago. Il y écrit le poème Estadio de Chile qui dénonce le fascisme et la dictature. Ce poème est resté inachevé car Víctor Jara est rapidement mis à l'écart des autres prisonniers. Il est assassiné le 15 septembre après avoir eu les doigts coupés par une hache.
En 1970, il renonce à prendre la direction de l'Ituch. Ce choix est fondateur d'un nouvel engagement politique, car il s'engage dans la campagne électorale du parti Unidad Popular de Salvador Allende. Victor Jara estime à l'époque qu'il peut être plus utile par la chanson, ce qui lui donne l'opportunité de s'adresser au pays entier. Cette nouvelle option, qui lui fait délaisser le théâtre, est confirmée par la parution chez Emi-Odeón de l'album Canto libre en 1970.
De fait, il se met vite au service du gouvernement Unidad Popular. En 1971, il rejoint le ballet national, puis le département des technologies de la communication de l'université technique de l'État. Devenu l'ambassadeur culturel du gouvernement Allende, il organise des tours de chant dans toute l'Amérique latine et participe à plusieurs émissions de la télévision nationale chilienne, pour laquelle il compose entre 1972 et 1973. À la sortie de son opus El derecho de vivir en paz (Dicap, 1971), il est sacré meilleur compositeur de l'année.
Après l'avoir malmené, les militaires lui ont tranché les doigts avant de lui intimer l'ordre de chanter. Victor Jara aurait défié les soldats de Pinochet en se tournant vers les militants détenus avec lui et en entonnant l'hymne de l'Unité Populaire. Les militaires l'ont alors exécuté par balles, ainsi que la majorité des militants qui avaient repris son chant en chœur....
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